Pologne – Wrocław, la « Venise Polonaise »

Deux jours de découverte  !
J’adore organiser de petits voyages de quelques jours à la découverte d’une nouvelle région. Aujourd’hui, nous avons prévu de visiter Wrocław, la « Venise Polonaise« , construite autour de l’Oder et de ses effluents. La ville est charmante ; elle compte 127 ponts reliant 12 îles, une magnifique place entourée de manoirs de style Renaissance aux couleurs pastel et de minuscules personnages dispersés dans tous les coins de rue.

Les Polonais les appellent « krasnales« .

On ne peut pas les rater, ils sont partout. Assis sur un banc, s’affairant au pied d’un mur, mangeant une glace ou lisant le journal.

Vous vous demandez qui ils sont ?

Ce sont des lutins ou gnomes que l’on trouve parsemés dans toute la ville. D’ailleurs, personne ne connaît exactement leur nombre, sachant qu’il en existerait tout de même plus de 300.

Si vous êtes curieux et voulez en savoir plus sur ces petits bonhommes, c’est ici.

Nous voilà partis pour la visite

Bon, notre week-end a un peu mal commencé. Comme souvent, nous avions réservé un « free-walking-tour », mais notre guide ne s’était apparemment pas levé ! Nous avons donc organisé notre propre visite avec l’aide de l’office de tourisme qui se trouvait juste à côté d’où nous nous trouvions.

La Place du marché

Nous avons commencé par la superbe place de Wrocław. Comme beaucoup de villes en Pologne, Wrocław a été complètement détruite pendant la guerre, et reconstruite à l’identique.
On se retrouve une fois de plus transporté au Moyen Âge.

Les premiers marchés prirent place ici au début du 13e siècle. On y trouvait les produits de première nécessité, ainsi que des artisans, des cordonniers ou des tailleurs.
Les rues des alentours ont d’ailleurs tiré leurs noms de ses différents métiers. Les rues Szewska, Białoskórnicza et Jatki, étaient le siège des cordonniers, des bouchers et le lieu de vente de la viande et des abats.

Une grande place centrale comme celle-ci servait également de lieu pour les châtiments

Le pilori de Wrocław était autrefois le point d’exécution de la justice. Le bourreau y attachait les coupables pendant plusieurs heures avant l’exécution de la peine, qui allait de la flagellation à la décapitation en passant par l’amputation d’un des membres.
On trouve aujourd’hui une reconstitution en grès du pilori datant de 1492 du célèbre sculpteur saxon Preussey.

Mais au fil des ans, ce sont des résidences qui ont commencé à apparaître autour de la place. Cent ans auront été nécessaires pour que la place devienne celle d’aujourd’hui, entourée de maisons mitoyennes aux façades toutes plus belles les unes que les autres — un moyen pour leurs propriétaires d’afficher leur richesse.

Chaque côté de la place à son nom

Le plus beau pour moi est sans aucun doute celui qui se situe à l’ouest et que l’on surnomme « le côté des Sept Électeurs ». 

Certaines maisons ont également leurs noms.

  • La Maison des Sept Électeurs” dont les fresques datent de 1672,
  • Sous le Soleil Bleu ”,
  • Sous le Soleil d’Or”,
  • La Cour Polonaise
  • ou encore “Sous les Griffons”.

Quant aux autres côtés, ils s’appellent “le côté de la Coupe d’Or” au sud,  “ le côté de la Cane Verte ”, à l’est, et “le côté du marché aux bonbons ou marché aux légumes” au nord.

Une fontaine de verre, créée dans les années 2000, agrémente joliment la place. Un agréable mélange d’antique et de modernité.

La place adjacente, appelée place de la Laine au Moyen Âge, dû sans doute à la Halle des draps qui se trouvait ici, est devenue la place aux pigeons.

Je ne vois pas pourquoi le nom a été changé sachant que je n’en ai pas vu lors de notre passage !

La Halle aux draps…

La Halle aux draps

Également connue sous le nom de Maison des marchands, elle abritait autrefois les chambres des marchands, le lieu où le tissu et d’autres matériaux précieux étaient échangés.
Quarante chambres borgnes étaient réparties de chaque côté d’un couloir long de 100 mètres.

… et son fantôme

Une vieille légende raconte qu’il y avait un cimetière entre la place du marché et l’église Sainte-Elisabeth. Chaque nuit, le fantôme d’une vendeuse de draps malhonnête sortait de sa tombe pour exécuter sa punition éternelle qui était de mesurer le tissu dans la Halles aux Draps. Ce n’est qu’après avoir déterré le corps et l’avoir brûlé que le fantôme a cessé de hanter l’endroit, lieu de ses larcins.

L’ancienne mairie de Wrocław

Il était tant de continuer notre visite. Nous sommes allés en direction d’un magnifique bâtiment en brique rouge. Vu sa taille et sa prestance, nous pouvions imaginer qu’il s’agissait d’un bâtiment officiel. En effet, nous nous trouvions en face de l’ancien hôtel de ville.

Commencé au 13e siècle, nous n’avons pas été surpris d’apprendre qu’il aura fallu 250 ans pour achever la construction de ce magnifique bâtiment gothique. On peut imaginer la multitude de changements de plans qui ont dû avoir lieu durant cette longue période.

La première phase de construction se composait de la tour « le conspiratoire« , une structure de plain pied attenante avec des caves et la salle des Bourgeois. A cette époque, l’endroit était destiné à un usage commercial.
Puis un étage a été ajouté pour inclure la salle du Conseil et la salle des Echevins, suivi par la création d’une extension avec l’ajout de salles supplémentaires, notamment la salle d’audience , la Grande Salle et les salles du Trésor et du Petit Trésor. 

Le conspiratoire

Cette tour, haute de 66 m, est le support d’une horloge à cinq cadrans — quatre sur la tour et un sur la façade — qui sonne les quarts d’heure et l’heure exacte.

Actuellement, l’ancien hôtel de ville est une branche du musée de la ville de Wrocław.
Il y a un musée d’art où on peut admirer, entre autres, une exposition de lampes à pétrole et de bustes d’habitants célèbres de Wrocław.

Le nouvel hôtel de ville a, quant à lui, été construit au début du 19e siècle.

Nous avions un dernier monument à admirer avant de quitter la place. L’église gothique Sainte-Élisabeth, construite au 14ème siècle.

L’église Sainte-Élisabeth

De 1525 à 1946, Sainte-Élisabeth était la principale église luthérienne de Breslau et de Silésie et la principale congrégation de l’Église évangélique de Prusse à Breslau. Le dernier sermon en allemand a été prononcé le 30 juin 1946, année de la remise de l’église à l’aumônerie militaire de l’Église catholique romaine polonaise.

Mais comment se fait-il qu’une église construite pour les catholiques soit passée sous le contrôle de l’église luthérienne ? 

Tout simplement parce qu’elle était dans les mains d’un prêtre joueur.

L’histoire se passe en 1525. Scultetus, le prêtre qui était chargé de l’église, était un homme bon, mais qui avait un gros problème: le jeu.
Un jour, il défia le prêtre luthérien local Henry Rybisz à un jeu de dés. Comme souvent, la chance du début qui lui fit gagner beaucoup d’argent l’abandonna graduellement. Cependant toujours confiant, il plaça tous ses gains sur un seul coup de dés et, inévitablement, perdit tout. Son astucieux adversaire lui proposa alors un marché. Afin qu’il puisse rester dans la partie et avoir une dernière chance de récupérer ses pertes, il lui demanda de miser quelque chose d’inestimable. Scultetus décida alors de parier la propriété de l’église Sainte-Élisabeth elle-même. Vous connaissez la suite…

L’église domine la place, et offre du haut de son clocher une vue panoramique de la vieille ville. Avec le ciel bleu et le soleil qui brillait ce jour, j’étais sûre que nous allions apprécier le spectacle.

L’entrée de la tour se fait par un passage entre deux maisons reliées par une arche. Les deux maisons ont chacune un nom: Hansel, la gothique et Gretel, la baroque Jaś et Małgosia en polonais.

La voûte, qui symbolise une poignée de main, est l’ancienne porte du cimetière qui ferma en 1733. Il était alors entouré de maisons modestes habitées par les aumôniers de l’église.

Nous passons la porte, admirons un nain et sa petite maison, et nous nous dirigeons vers la tour.

L’ascention de la tour

Elle mesurait à l’origine 130 mètres de haut. Mais suite à un incendie qui ravagea l’église en 1976, elle a été reconstruite et mesure maintenant 91,5 mètres de haut. 

Elle est peut-être moins haute, mais suffisamment quand on sait qu’il faudra accéder au sommet par des escaliers.

Nous avons pris notre ticket et sommes partis à son assaut.
J’avoue que je n’étais pas à l’aise au début. Imaginez un escalier en colimaçon avec un pilier central de 20 cm de diamètre, une largeur de marche qui rend le croisement avec d’autres personnes difficile, un plafond bas, et aucun indice pour indiquer votre position lors de la montée.

Comme je suis un peu claustrophobe, j’ai commencé à compter les marches pour penser à autre chose, mais j’ai abandonné en cours de route car c’était vraiment très long.

Mais la vue spectaculaire au sommet m’a vite fait oublier cette montée stressante.

Nous avons pu admirer le toit très pentu de l’église avec les couleurs vives des tuiles qui le recouvrent, et la ville en contrebas.

Après la descente qui heureusement fut plus facile, nous avons continué notre visite en direction de l’île Ostrów Tumski, l’endroit où tout à commencé.
Ce qui nous amène à un peu d’histoire. 

L’île Ostrów Tumski

Puis ce fut au tour de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste d’être érigée, également en bois. Ce n’est qu’au début du 11e siècle que les édifices furent construits à l’aide de matériaux solides.

La création de la ville est intimement liée à cette île située entre les branches de la rivière Oder. C’est ici que furent construites les premières habitations, la résidence du premier duc, et la première église en bois, l’église Saint-Martin. Celle-ci était entourée de murs défensifs sur les bords de la rivière. L’île comptait alors environ 1500 habitants.

Le pont Tumski qui enjambe la river Oder est mène à l’île Ostrów Tumski
L’église Sainte-Marie-sur-le-sable

Nous voilà enfin face à la magnifique Cathédrale Saint-Jean-Baptiste.

En 1315, Ostrów Tumski changea de statut. L’île fut vendue à l’église catholique, et servit, entre autres, de lieu de sanctuaire pour ceux qui avaient enfreint la loi à Wrocław.
Une particularité intéressante de l’île à cette époque est qu’elle interdisait aux hommes de porter une coiffe quelle qu’elle soit — une loi qui s’appliquait également à la royauté.

Aprés avoir déambuler autour de la cathédrale, nous avons quitté l’île et sommes retournés au centre-ville pour notre repas de midi.

Nous avions repéré un bar à lait et étions pressés de nous régaler de la bonne cuisine polonaise faite maison.

Si vous ne connaissez pas les bars à lait, voici quelques petites infos ici.

Si une chose est sûre et qu’ils ne sont à manquer pour rien au monde. Ça n’a pas été notre cas ce jour. La queue devant la porte était trop longue, et notre faim trop grande. Nous avons donc opté pour un sandwich assis sur un des bancs de la place. J’avoue que j’étais un peu déçue, mais le point positif est que nous n’avons pas perdu de temps à midi !

Il était maintenant temps de nous diriger vers l’université de Wrocław, son église et sa surprenante statue. 

L’université de Wrocław

Le batiment principal de l’université de style baroque a été construit entre 1728 et 1748.

Sur sa façade sud, se trouvent un balcon qui supporte les statues de la Justice, de la Valeur, de la Sagesse et de la Modération, ainsi que la tour mathématique couronnée d’un belvédère.

L’escalier impressionnant mène à la salle de musique au rez-de-chaussée et à la salle Léopoldine située au premier étage — une perle du baroque de Wrocław.

L’église de l’université

L’extérieur sobre de l’église contraste avec son intérieur riche en décoration. On ne peut qu’être ébloui par la beauté de cette église.

La statue de l’Épéiste

La statue de cet épéiste nu a été érigée en 1904. Comme on peut le voir, l’épée a été retirée, mais on peut voir son emplacement précédent dans sa main droite.

Mais le plus épique, outre le fait qu’il soit nu, et qu’il est porté par deux femmes, nues également, qui semblent le vénérer.

Laissez-moi vous éclairer.

L’homme est nu, car un soir d’ivresse, cet étudiant noble a perdu jusqu’à ses vêtements au jeu. Il ne lui restait que sa rapière, symbole de sa noblesse.

Les quatre visages autour de lui représentent les conférences que l’étudiant détestait.

En ce qui concerne les femmes nues ?

J’ai entendu une histoire déroutante à ce sujet. L’escrimeur ressusciterait le jour où une étudiante vierge obtienfrait son diplôme de maîtrise de cette université. Je ne sais pas quoi penser !

Bien sûr, le rôle d’une telle sculpture était honorable. Elle était censée servir d’avertissement aux étudiants pour les garder sur la bonne voie.
Maintenant, elle fait partie de leurs blagues et de leurs débats.

Le marché des bouchers

Les vieilles échoppes de boucherie sont le seul site médiéval conservé à Wrocław.

Il a été fondé au 13ème siècle et a fonctionné pendant 700 ans jusqu’à l’entre-deux-guerres. Érigées en l’honneur des animaux de la ferme et inaugurées en 1997, les statues s’harmonisent avec les usages anciens et nouveaux de la rue désormais bordée de boutiques d’art.

Notre journée touche à sa fin, et c’est joyeusement que nous retournons à notre hôtel qui fait face au somptueux opéra de Wrocław.

L’impressionnant bâtiment classique de l’opéra
Le majestueux hôtel Monopol, le plus ancien bâtiment de la ville de Wrocław, construit au 19e siècle.

À faire aux alentours

Notre deuxième jour ici a été aussi beau que le premier et c’est rempli d’énergie que nous sommes partis pour notre footing dominical à la découverte du parc Szczytnicki, à 5 km du centre-ville.

C’est là que se trouve le musée d’Art contemporain, le Hall du Centenaire, la Fontaine Multimédia et le Jardin Japonais.

Le temps était parfait, et nous avons profité du calme de la ville encore endormie et des rives de l’Oder.

En chemin, nous avons admiré quelques ponts…

… et avons eu la bonne surprise d’arriver devant la fontaine au moment où le spectacle de jets musical commençait.

Simple heureuse coïncidence !

La Fontaine Multimédia

Elle a été créée en 2009 pour célébrer le 20e anniversaire de la première élection libre en Pologne, après la guerre. Le spectacle dure 20 min et a lieu toutes les heures de mai à octobre, de 10:00h à 22:00 h.

La nuit, la musique et les jeux d’eau sont complétés par des jeux de lumière.

Le Musée d’Art contemporain et Le Hall du centenaire — la salle du peuple

Le pavillon à quatre coupoles fait partie du complexe d’exposition autour du Hall du Centenaire créé entre 1911 et 1913 dans le cadre de la célébration du 100e anniversaire de la bataille victorieuse de Prusse à Leipzig.

Le Jardin Japonais

Il a été créé à l’occasion de l’exposition universelle de 1913, et restauré au début du 20e siècle avec l’aide de paysagistes venus directement de Nagoya au Japon.

Nos deux jours se sont terminés par ce magnifique jardin. Il y a d’autres curiosités dans cette ville.
Par exemple, j’ai découvert que la ville regorgeait d’histoires, de légendes, quelques fois étranges, et quelques fois dont la morale ne me parait pas évidente. En voici deux qui m’ont laissé pensive.

L’église de Marie-Madeleine et le pont des pénitents

On reconnaît facilement cette église grâce à ses tours distinctives.

Malheureusement, on ne peut pas le voir sur la photo — il vous faudra donc un peu d’imagination — mais le sommet des deux tours est relié par un pont.

Il y a longtemps, une légende racontait que des silhouettes blanches armées de balais marchaient le long du pont chaque nuit au crépuscule. C’étaient les âmes de jeunes filles qui avaient tenté d’échapper aux tâches ménagères de leur vivant et qui étaient condamnées à jamais à errer la nuit sur le pont, le nettoyant dans leur sillage.

Bien sûr, il y a une note plus romantique. La légende ajoutait que si un couple non marié marchait le long du pont en se tenant la main, leur amour l’un pour l’autre ne s’effacera jamais.

Une autre curiosité de Wrocław. La Porte des nouilles aux oeufs

Pour commencer, les nouilles étaient déjà à l’époque un plat très apprécié en Pologne. Mais de là à leur consacrer une porte !

Comme ma curiosité est une fois de plus aiguisée, nous nous sommes rendus à la « Porte des nouilles ».
C’est ici que vivaient, il y a très longtemps, Agnès et Konrad, un couple aimant. Leur vie était simple ; Konrad était potier et Agnès le régalait de délicieuses nouilles aux œufs. Mais malheureusement, Agnès tomba malade et mourut quelques jours plus tard, laissant son mari seul et désespéré.

L’histoire aurait pu s’arrêter là si Konrad avait su cuisiner, mais il en était incapable. Malgré les petits plats que lui apportaient les femmes du voisinage, il se languissait des nouilles de sa défunte épouse et ne pouvait rien avaler d’autre.

Un soir qu’il s’endormit à demi mort de faim sur le bord de la route, il fit un rêve dans lequel sa bien-aimée lui tendait un bol de nouilles à l’odeur alléchante. Elle le mit cependant en garde de ne jamais le manger en entier, et de toujours laisser une nouille pour que le bol puisse se remplir comme par magie pour le lendemain.

Et ce qui devait arriver arriva. Lorsqu’il s’est réveillé pour trouver le bol fumant à côté de lui, il n’a pas pu se résoudre à s’arrêter et a attrapé la dernière nouille pour la dévorer — qui devait sûrement être la meilleure !

Mais la nouille lui échappa des mains et tomba sur le sommet du portail à côté de lui.
Comment ? Personne ne le sait. Mais n’oublions pas qu’il s’agit d’une légende. Cela dit, Konrad était déterminé à dévorer cette dernière nouillle. Il escalada la barrière, mais au moment où il était prêt à la saisir, elle se pétrifia et Konrad rentra bredouille.
Et comme l’avait prévenu Agnès, son bol resta définitivement vide.

Mais on peut toujours voir la nouille lapidifiée au sommet de la grille.

Ne me demandez pas la morale de l’histoire ! J’ai ma petite idée personnelle, mais je ne pense pas qu’elle soit réellement valable.

Le mot de la fin

Une perle de la Pologne.

Wrocław fait partie des territoires qui ont été rendus à la Pologne après la Seconde Guerre mondiale — elle appartenait alors à l’Allemagne. Entre 1945 et 1949, la plupart de ses habitants non polonais ont été de ce fait expulsé et les traces du passé allemand supprimées. C’est peut-être son histoire qui la conduite à se battre pour son indépendance. Elle a été le siège des organisations clandestines anticommunistes, Fighting Solidarity et Orange Alternative.

Et que dire de la tradition des nains présents à chaque coin de la cité ?
Et les légendes improbables qui la concernent s’ajoutent à la liste de ce qui rend Wrocław si attrayante.

C’est aussi une ville aux bâtiments magnifiques, active et animée, si agréable à arpenter.

C’est un arrêt à inclure dans un voyage en Pologne sans hésitation.

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