Une visite de Reykjavik à la découverte de ses plus beaux spots


Reykjavík, littéralement la « Baie des fumées », est la capitale et la plus grande ville d’Islande. Mais elle reste une ville à taille humaine avec une population d’environ 131 136 habitants. Pour cette raison, l’ambiance y est calme, et on ne retrouve pas le stress que l’on peut retrouver dans d’autres capitales. Les rues sont claires, colorées, et il n’y a pas de grands buildings qui coupent la vue et le soleil. C’est cette ambiance qui m’a marquée et plue dès que nous sommes descendus du bus en provenance de l’aéroport. Et pour parfaire le tableau, c’est l’une des villes les plus propres, les plus vertes et les plus sûres au monde. 


C’est donc plein d’entrain et par une belle journée ensoleillée que nous partons à sa découverte.
La visite que je vous propose peut se faire sans problème sur une journée. À condition d’être un lève-tôt !

Nous avons décidé de commencer par le monument que nous avons repéré depuis notre arrivée et que l’on peut apercevoir depuis toute la ville.

L’Eglise Hallgrimskirkja

Hallgrímskirkja, litérallement l’église d’Hallgrímur, est une église paroissiale luthérienne. Construite en béton et haute de 74,5 mètres, elle trône au sommet la colline Skolavorduhaed.

Elle a été conçue par l’architecte Guðjón Samúelsson, qui s’est inspiré des coulées basaltiques nombreuses en Islande, et lui a donné la forme d’un geyser.
Son nom vient du poète et ecclésiastique islandais Hallgrímur Pétursson, auteur des « Hymnes de la Passion« , une œuvre majeure islandaise.
À l’origine, l’église devait être moins haute. Mais comme les dirigeants de l’Église d’Islande voulaient surpasser la cathédrale de l’Église catholique Landakot, il ont demandé qu’une flèche soit ajoutée.

Il a fallu au total 41 ans pour construire l’église, dont les travaux ont commencé en 1945.

L’orgue à tuyaux mesure 15 mètres de haut et pèse 25 tonnes. 

La flèche de l’église

Il est possible, grâce à un ascenseur payant, d’atteindre le sommet de la grande tour d’où l’on surplombe la ville. La vue est magnifique !

La statue de Leif Erikson

Cette statue de l’explorateur islandais Leif Erikson (970-1020) a été offerte à l’Islande par les États-Unis en 1930, en l’honneur du Festival millénaire d’Althing, commémorant le 1000e anniversaire de la convocation du Parlement islandais à Thingvellir.

Leif Erikson a été le premier Européen à mettre les pieds sur le continent américain, à l’exception du Groenland, environ un demi-siècle avant Christophe Colomb. Ce nouveau territoire, qu’il appela Vinland, s’avèrera être la côte de l’Amérique du Nord. Une saga islandaise raconte qu’il y avait même établi une colonie.

Leif était le fils d’Erik le Rouge, le fondateur de la première colonie nordique au Groenland. 

Le musée d’art Einar Jonsson

Einar Jónsson (1874-1954) fut le premier sculpteur islandais. En 1909, il fit don de ses œuvres à Reykjavik à l’unique condition que la ville construise un musée pour les abriter. Ce n’est qu’en 1914 que le Parlement islandais accepta cette offre en réalisant que les Islandais appréciaient vraiment ses œuvres.

Le bâtiment du musée, également une œuvre d’Einar Jónsson, fut le premier musée d’art construit dans la ville. Il fut bâtit sur ce qui était à l’époque un quartier désolé, la colline Skolavorduhaed

Le musée était fermé lors de notre visite. Nous avons cependant profité pleinement du parc adjacent, qui présentait des sculptures quelque peu étranges.

Le jardin était charmant. Nous y avons passé un bon moment à flâner à travers ces magnifiques œuvres d’art. Et comme l’entrée est gratuite, n’hésitez pas à en profiter.

Laugavegur street

L’avenue Laugavegur, l’une des plus anciennes rues de Reykjavik, est la principale rue commerçante de la ville.

Son nom signifie «route du bassin». C’était ici, en effet, que les femmes venaient apporter leur linge à laver. Ils y avaient alors des bassins d’eau naturellement chaude.

L’hôpital français

L’hôpital français a été construit en 1902 par les Français. Il avait alors 20 lits et employaient du personnel pour la plupart islandais. Il était destiné à fournir des soins aux marins français et islandais travaillant dans les zones de pêche à l’ouest de l’Islande. 

Au moment sa construction, 150 à 200 navires français venaient pêcher ici, de février à fin août. Les équipages des navires représentaient entre 4 000 et 5 000 hommes. 
Malgré les tragédies qui arrivaient, navires échoués ou perdus en mer, la pêche était profitable.
Mais une grande part de cette pêche pris fin en 1914.

The Sun Voyager – Sólfarid

Le « Sun Voyager« , de l’artiste Jón Gunnar Árnason, est situé en bord de mer.
J’avoue qu’au début je pensais qu’il s’agissait d’un drakkar !

Mais non. L’oeuvre représente un bateau de rêve, une ode au soleil. Elle symbolise la promesse d’un territoire inconnu, un rêve d’espoir, de progrès et de liberté.

Elle a été fabriquée en acier inoxydable de haute qualité et se dresse sur un cercle de dalles en granite. L’ensemble est entouré de béton.

La vue sur la mer avec des couleurs irréelles

Harpa, salle de concert et centre de conférence

La chose la plus surprenante lorsque l’on découvre ce bâtiment est son architecture qui détonne avec celle des autres bâtiments de Reykjavik. C’est un monument moderne, qui fait la fierté des habitants de la ville.
La structure est en acier. Les façades sont un assemblage de panneaux de verre de formes irrégulières et de couleurs différentes les unes des autres, s’inspirant du paysage basaltique islandais.

Selon leur orientation, chaque panneau capture la lumière d’une façon unique. Les couleurs de la façade changent en fonction de la météo ou de l’heure de la journée. Chaque photo que l’on peut prendre est une copie unique. C’est magique!

Le centre a été ouvert le 4 mai 2011, avec une performance de l’Orchestre symphonique islandais. Harpa est d’ailleurs devenu par la suite, la maison de cet orchestre.
Harpa est avant tout un lieu d’enregistrement. Il est adapté à tous les types de musique, classique ou contemporaine. Il dispose de plusieurs salles de concert de différentes tailles, toutes avec une acoustique exceptionnelle.

L’église Landakotskirkja


Landakotskirkja, l’église de Landakot, est la cathédrale de l’Église catholique d’Islande. Elle est souvent appelée Kristskirkja (église du Christ). 
J’ai été surprise par son toit plat, qui diffère des flèches que l’on trouve traditionnellement sur les églises. 

L’histoire du catholicisme en Islande

Au 10e siècle, des missionnaires norvégiens et allemands arrivèrent en Islande pour propager leur foi chrétienne.
A cette même période, alors que l’Islande est gouvernée par le royaume qui regroupe le Danemark et la Norvège, c’est sous la pression de son roi que l’Althing — le Parlement islandais fondé en 930 — adopta le christianisme comme religion d’état. 
Mais cela va changer au 16e siècle, lorsque Christian III, alors nouveau roi de ce royaume, imposa la Réforme protestante luthérienne afin de s’emparer de tous les biens de l’Église catholique.
Cette Réforme protestante conduisit à l’exécution de l’évêque catholique d’Islande et de ses deux fils. Le pays devient alors Luthérien.

Ce n’est que bien plus tard que deux prêtres catholiques sont revenus en Islande pour tenter de réintroduire leur foi ; les français Jean Baptiste Baudoin et Bernard Bernard. Dès leur arrivée en 1857, ils ont acheté la ferme de Landakota (qui se situait à l’endroit actuel de la cathédrale), pour y construire une petite chapelle. L’accueil qui leur est réservé est difficile. Pour cette raison, Bernard quitte le pays en 1862, tandis que Baudoin persévère jusqu’en 1875. 
Quelques années plus tard, après la Première Guerre mondiale, la petite chapelle sera remplacée par une église dans le style néo-gothique.
Sanctifiée en 1929, c’était la plus grande église d’Islande de l’époque. Aujourd’hui, Landakotskirkja est le siège de la seule école catholique d’Islande.

La rue Aðalstræti


Nous avons continué notre balade dans les vieilles ruelles autour de la rue Aðalstræti, la plus vieille rue de Reykjavik. D’ailleurs, la première maison construite à Reykjavik en 1764 se trouve au numéro 10 de cette rue.

On retrouve dans ce vieux quartier une ambiance de petit village, avec ses ruelles pavées avec ses maisons pittoresques colorées.

Le cimetière de Hólavallagarður

La découverte de ce cimetière à été inattendue. C’est un havre de nature au milieu de la ville. Des arbres sont plantés sur chaque parcelle, et la nature laissée sauvage attire des oiseaux et des petits animaux, ce qui adoucit ce lieu de tristesse.

Le cimetière fut achevé à l’été 1838 mais ne fut consacré que quelques mois plus tard. Une vieille superstition veut que la première personne enterrée dans un cimetière en devienne son gardien. Son rôle étant d’accueillir et de veiller sur les nouveaux morts, il ne reposera pas en paix, et son corps ne se décomposera jamais.

Comme peu de personnes souhaitent que leurs proches défunts aient un tel destin, il peut se passer plusieurs mois avant que le premier corps ne soit enterré dans un nouveau cimetière.
À Hólavallagarður, la gardienne est la dernière épouse du magistrat Þórður Jónassen, inhumée ici en 1838.

Trente mille corps reposent ici.
Toutes les parcelles ont été vendues, ce qui a conduit à la construction d’un nouveau cimetière en 1932.

Mais il est tout de même possible d’y avoir un petit espace comme lieu de repos. Des urnes peuvent être enterrées dans des tombes qui ont déjà un cercueil, sous réserve de l’autorisation du propriétaire, bien sûr – une pratique qui a augmenté ces dernières années.

Le parc Hljómskálagarður


Le parc Hljómskálagarður se trouve à proximité du lac Tjörnin, un grand lac intérieur qui jouxte l’hôtel de ville. Ce lac abrite de nombreuses espèces d’oiseaux d’eau douce — des canards, des oies ou des sternes arctiques — et fait le bonheur des enfants qui viennent leur jeter du pain les beaux jours. L’ambiance de cette ville est vraiment reposante.

Après un peu de marche le long du lac, nous avons finalement atteint le parc.

Nous avons laissé derrière nous le bruit de la ville et sommes entrés dans un océan de verdure. L’allée serpente le long des parterres de fleurs et des statues d’artistes bien connus, nous menant à une aire de jeux pour enfants et à des aires de repos. Des bancs bordent le chemin et vous invitent à une halte pour admirer les arbres majestueux qui entourent le site.

Ce paysage est un tel contraste avec ceux désertiques que nous avons vus en dehors de la ville !

Le scuplteur danois Bertel Thorvaldsen
Le poète islandais Jonas Hallgrinsson

Et pourtant, lorsque l’idée de ce parc a été annoncée, notamment comment il allait être fait, les habitants de la ville ont été quelque peu réticents.
En effet, au début du 19ème siècle, il n’y avait ici que des champs marécageux, ce vous veux dire qu’il a fallu remblayer le terrain pour créer le parc. La solution adoptée: utiliser les cendres et les déchets de la ville pour niveler le sol.
Avec la puanteur des ordures, on peut imaginer pourquoi cette idée n’était pas attrayante pour les habitants.
Malgré tout, les travaux ont commencé et se sont terminés en 1920.

Aujourd’hui, c’est un parc incontournable pour une promenade agréable et relaxante! Il parait aussi que l’endroit est idéal pour regarder les aurores boréales. J’en doute un peu.

A. Heimleid, une sculpture en bronze de 1947 de l’artiste Gunnfríður Jónsdóttir


Une section du parc a été consacrée à des sculptures, toutes réalisées par des femmes — cinq Islandaises et une Danoise.

le Parc Vatnsmýri


Un peu plus loin, se trouve le Parc Vatnsmýri. J’ai été un peu déçue après Hljómskálagarður. Ce n’est pas exactement un parc comme on pourrait s’y attendre. Je dirais une réserve sauvage avec un circuit qui nous fait découvrir le cercle de vie à travers l’eau. Pour moi, c’était juste la nature !

La vieille ville

Nous venons de finir la première partie de notre visite, et nous voilà sur le chemin de la vieille ville. 
Comme il est midi, nous avons profité du parc Hljómskálagarður et de ses bancs pour notre pause déjeuner.


Après notre marche du matin, nous avons pleinement apprécié cette demi-heure de repos. 
Mais nous avons hâte de repartir, et c’est de nouveau plein d’entrain que nous sommes repartis à l’assaut de la vieille ville.

L’hôtel de ville et le bureaucrate inconnu

Inauguré en 1992, l’hôtel de ville est un bâtiment moderne, tout en verre et béton. Il diffère totalement de l’architecture environnante, mais s’intègre parfaitement au paysage. Côté lac, des colonnes plongent dans l’eau calme, tandis que côté rue, un bassin donne l’impression que le bâtiment est complètement entouré d’eau.

Au rez-de-chaussée, vous trouverez un espace d’exposition, un guichet d’information et une grande carte en relief de l’Islande. Un bon moyen de repérer les parcs naturels et les volcans. Et non négligeable, vous y trouverez des toilettes.

Lorsque l’on quitte l’hôtel de ville côté lac, c’est en empruntant une passerelle que l’on rejoint la rive où se trouve Le Bureaucrate Inconnu.


Cette statue a été créée en 1994 par le sculpteur islandais Magnus Tomasson. Elle représente un homme dans un costume froissé, portant une mallette et se dirigeant vers l’hôtel de ville. Ses épaules et son buste sont un bloc brut de basalte volcanique islandais.

Chacun peut interpréter le message que renvoie cette œuvre, mais selon l’artiste, ce serait un hommage aux travailleurs inconnus qui servent leur pays à travers leur travail. Ou aux bureaucrates inconnus comme son nom le suggère.

Le bloc, quant à lui, représenterait le fardeau ingrat d’être un employé de bureau.

La place Austurvöllur et le parlement

Depuis toujours, la place Austurvöllur a été un lieu de rassemblement pour les Islandais, que ce soit pour des revendications, des protestations, des célébrations ou tout simplement pour se divertir. On la retrouve citée tout au long de l’histoire du pays.
Mais ce qu’on a du mal à imaginer, c’est qu’au commencement, quand Reykjavik n’était alors qu’une ferme, c’était le pré où les animaux étaient parqués. Il était alors beaucoup plus grand que la place actuelle.
Au début des années 1800, l’endroit était toujours marécageux et impropre à la construction. D’une part à cause des animaux, mais également car des parcelles de terre étaient découpées afin de fabriquer les fameuses maisons en gazon typiques du pays. 

Ce n’est qu’en 1875 que le champ fut clôturé, gazonné et équipé d’allées, dans le but d’y installer une statue offerte par la ville de Copenhague. Cette statue du sculpteur islandais-danois Bertel Thorvaldsen a été dévoilée le 19 novembre 1875, date de l’anniversaire de l’artiste. C’était la première sculpture publique de Reykjavik. 

La statue de Jon Sigurdsson

En 1930 les barrières sont enfin enlevées, ouvrant la place au public.
Un an plus tard, la statue de Bertel Thorvaldsen a été déplacée au parc Hljómskálagarður et remplacée par celle de Jon Sigurdsson, chef du mouvement islandais. D’ailleurs, la date d’anniversaire de ce politicien, le 17 juin, est devenue le jour de la fête nationale de pays, après l’indépendance de l’Islande en 1944.

Sur le piédestal de la statue, se trouve un relief appelé « Le pionnier« , représentant un colon, au milieu de falaises et de colonnes de basalte et traçant une piste pour les générations futures. La statue et le relief sont l’œuvre du célèbre sculpteur islandais, Einar Jónsson.

Les islandais sont des rebelles

« Le cône noir« . Cette sculpture de l’artiste espagnol Santiago Sierra a été créée suite aux importantes manifestations qui ont eu lieu sur la place Austurvöllur après l’effondrement bancaire en 2008. Elle est dédiée à la désobéissance civile et n’a été offerte à la ville par l’artiste qu’à condition qu’elle soit en permanence sur la place Austurvöllur.
L’œuvre est composée d’un énorme rocher ouvert en deux et surmonté d’un cône noir, une allusion aux chapeaux que les condamnés devaient porter en signe d’humiliation pendant l’Inquisition au 12e siècle.

Sur la plaque, se trouve une citation extraite de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de la Révolution française. “Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs”.

De nos jours, un des rassemblements populaires a lieu tous les mois de décembre, pour admirer les illuminations du sapin de Noël offert par la ville d’Oslo.

l’Althingishus, la maison du parlement

Le parlement islandais – Althing – a été fondé en 930 à Thingvellir, un endroit situé à environ 50 km de Reykjavik. Il y tint ses sessions jusqu’en 1799, avant d’être transféré dans la capitale.

Si vous êtes curieux de connaître l’histoire de l’Althing, lisez-en plus.

Pour abriter l’institution, Althingishus a été construit en 1881. Aujourd’hui, c’est l’un des plus anciens bâtiments en pierre d’Islande conçu dans le style classique du 19e siècle.

L’arrière du bâtiment avec la rotonde ajoutée en 1908

Sur la façade principale du bâtiment se trouvent des ornements, notamment la couronne du roi Christian IX sur le toit. Sous l’avant-toit, la date de 1881 est marquée de chiffres métalliques entrecoupés d’étoiles.
Sur quatre des fenêtres du deuxième étage, les esprits gardiens de l’Islande sont représentés en bas-relief: un géant, un grand oiseau, un taureau et un dragon.

Statue de Tryggvi Gunnarsson, député islandais et directeur de banque, qui a contribué à la création du parc

Le jardin du Parlement, le plus ancien parc du pays qui a conservé sa conception d’origine: une disposition traditionnelle et formelle avec des chemins émanant d’une pelouse circulaire.

La cathédrale de Reykjavik

La cathédrale de Reykjavík a été construite entre 1787 et 1796 dans un style néoclassique, et a été le premier bâtiment à être construit spécifiquement avec à l’esprit l’idée que Reykjavík devait devenir la capitale du pays.

C’est devant l’Althingishust que notre visite a pris fin. Nous nous sommes dirigés vers le Musée Punk Islandais, qui est situé au début de la rue Laugavegur. Malheureusement, en raison de COVID-19, le musée était fermé. Nous avons donc décidé de prendre cette célèbre rue à la recherche d’une terrasse pour profiter d’un bon café.

Le mot de la fin

J’ai vraiment apprécié cette belle ville en raison de son ambiance calme et de l’architecture typique de ses maisons —multicolores, avec leurs murs et leurs toits en acier. Elles m’ont fait penser aux maisons que j’ai vues dans certains documentaires sur le Groenland, et que je ne m’attendais pas à voir ici.
Une autre chose que j’ai appréciée à sa juste valeur, est que tous les intérieurs sont extrêmement confortables. Il faisait assez froid lorsque nous sommes venus en Islande début octobre, et j’ai réellement apprécier de me sentir comme dans un cocon chaque fois que j’entrais quelque part.

Pour finir, il y a un endroit en dehors du centre-ville qui vaut la peine d’être visité, Perlan
Il est situé au sommet de la colline d’Öskjuhlíð. Ce qui était un groupe de réservoirs d’eau chaude a été converti en 1991 en un bâtiment ouvert au public. Il accueille une exposition, un planétarium, une terrasse d’observation et un restaurant. On peut y apprendre beaucoup de choses sur l’Islande.

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